I Me Mine
I Me Mine

en bref
Expectations feat. General Elektriks- 1,9 M streams sur Spotify
« Suspension » New EP available
The track « Orchestra » has been chosen by Louis Vuitton for his new 2022 campaign
En vidéo
Wild At Heart Louis Vuitton – Sync I Me Mine « Orchestra »
I Me Mine – Expectations ft. General Elektriks (Official Video)
I Me Mine – Once (Official video)
I Me Mine – Elephant in the Doorway (Undressed)
I Me Mine – Up To You – Live @ La Maroquinerie 2018
I Me Mine – Up To You (Official Video)
I Me Mine – Expectations (Unplugged)
I Me Mine – Orchestra (Official Video)
I Me Mine – Waiting for Summer (Official Video)
I Me Mine – Nobody’s Hotter Than Me (Official Video)
En Ecoute
en Bio
I Me Mine est de retour avec « Ellipsis » à paraître le 30 mars 2018. Après un premier album éponyme au sein duquel le trio se baladait dans l’histoire de la pop culture, celui-ci revient avec dix nouvelles chansons, soit dix nouvelles raisons de remettre son identité en question. Mais qui est donc I Me Mine? Entre passé et futur, entre fantasme et réalité, I Me Mine s’interroge sur son rapport à l’autre, à soi, au temps. Pour réaliser cet album, le groupe s’est bien entouré : Olivier CUSSAC du studio Condorcet (Aquaserge) et Serge FAUBERT du studio de l’imprimerie (Kid Wise, After Marianne) pour l’enregistrement, Lionnel BUZAC (leader de Soma) pour le mixage et Clément LIBES (Bigflo & Oli, Kid Wise) pour les arrangements de cordes et de synthé. En guise de guest, Hervé Salters (General Elektriks) signe les parties claviers sur le 1er single « Expectations ». Dès le premier accord de l’album, on retrouve la signature I Me Mine mêlant polyphonies à trois voix et clavier wurlitzer avec une forte dose d’énergie. Le titre « Here Comes The Man » fait écho aux 70’s vus par la french touch 2.0 (Justice), tandis que « Raise Them Up » nous guide vers des mélodies plus pop rappelant Massive Attack, enrichi d’un passage afrobeat évoquant Foals. « Elephant in the doorway » pose un décor inquiétant combinant les univers de Tim Burton et Gus Van Sant. Le tempo très lent et les basses englobent l’auditeur dans un cocon sonore influencé par la période New-Yorkaise de John Lennon à travers le prisme de Tame Impala. Découvert par Jean-Louis Brossard lors de la 36e édition des TransMusicales de Rennes et finaliste du Prix Ricard S.A Live en 2015, I me Mine se révèle surtout sur scène. Le groupe a joué en première partie de General Elektriks, Placebo, Talisco, Rover et partage régulièrement la scène avec Last Train. En live, l’élégance côtoie l’énergie d’un power trio bien rodé (267 concerts dans 4 pays différents). Rythmiques catchy, sonorités pop, rhodes et synthé analogique, ambiances en kaléidoscope, le trio nous emporte dans une ambiance psychédélique. « Ellipsis », terme polysémique, signifie « points de suspension » en anglais. Une chose est sûre : I Me Mine n’a pas fini de nous remettre en question !
En images
en live
Contact
Tour : charles@lesjeudisdurock.fr
Editions : laurent.clery@lesairsavif.com